Folles histoires autours de moi

ce blog pour vous faire partager mon plaisir d'ecrire des textes basées sur des faits réels

posté le 09-11-2019 à 22:33:54

LE PETIT AMI DE MA MÈRE ET MOI...

Attention ce témoignage peut heurter la sensibilité du lecteur.

 


De nos jours, tous le monde est au courant de la pédophilie, on en parle très peu jusqu'à ce que cela arrive à un de nos proches. Un conseil, soyez vigilant, gardez un œil constant sur vos enfants. Amy, jeune fille amoureuse de son beau père en cachette de sa mère en a subit les conséquences. Et si Amy auriez été votre fille ?


Amy – 19ans :


«  J’habite près de Nice. Ma mère est fraîchement divorcée d'un homme qui n'est pas mon père. Très affectée par cette séparation, elle s'est jetée sur le premier venu, sans faire attention aux conséquences.


J 'ai 10 ans lors des faits. Petite blonde, au long cheveux lisses, qui n'a pas la langue dans sa poche. J'avoue , j'étais déjà une vraie petite coquine.


Le nouveau petit ami de maman s'est installé à la maison. Oh comme il est très avenant avec moi, il me porte tellement d'attention. Il m'aide à faire mes devoirs, n' arrête pas de me complimenter sur ma beauté, mes cheveux, mes yeux bleu. Il prend plaisir a m'offrir des cadeaux splendides, des bijoux qui brillent, des vêtements qui scintillent. Je le trouve super, je me dis que maman a bien de la chance de l'avoir rencontré.


A mes 12 ans, il m'offre du maquillages, des dessous sexy, des chaussures a talon, tous ce dont ma mère m’interdisait, c'est pour cela que j’étais heureuse et que pour que je puisse garder ces cadeaux il ne fallait surtout pas que j'en parle a ma mère.


Plus les jours passent et plus mon amour pour lui grandit. Et oui, a à peine 12ans, que je ressentait des sentiments pour cet homme qui vit chez moi, avec ma mère. La relation avec ma mère a toujours été tendue, je lui en ai toujours voulu d'avoir foutu mon père dehors et par la suite avoir enchaîné avec des hommes différents. Le problème, c'est que ce n’est pas de l'amour que j’éprouve pour cet homme mais de la fascination. Après tout je ne suis qu'une gamine et il est le petit ami de ma mère. A cet age là il est l'homme que j’adore et il le sait .


Du jour au lendemain, ces cadeaux se sont transformés en caresses. Vu mon jeune âge, il a commencé par me caresser les cheveux, puis le cou. Ensuite, il a osé me faire des bisous partout, me lécher la joue.... il s'est transformé en monstre sans même que je ne m'en rende compte.


Petit à petit sa confiance prenait de l'ampleur. Il a commencé par me tripoter les seins, ça lui procure un énorme plaisir, je peux le voir a travers son pantalon qui enfle et moi ça ne me déplaît pas. Il a compris que je ne me débattrait pas, que je me laisserait faire, que j'aime ça. Il a par la suite détourné son regard sur mes fesses en les caressant, les tapotant. Il aimait tellement mes fesses, qu'il en vint a m'acheter des string, car cela l’excite. Plus loin encore il a glissé sa main dans mon jeans. Je sent encore ces gros doigts promener sur mon pubis. Cela était nouveau pour moi. Il a porté ces doigts mouillés à son nez pour les sentir, et les a léchés avec gourmandise. Il a enfoncé ces doigts de plus en plus loin, ce qui m'a fait sentir une douleur atroce entre mes cuisses. J' ai senti mon entrecuisse chaud est mouillé. Il en a profité pour me retirer le jeans et s'allonger sur moi , tout son poids est sur moi. Je peux sentir cette horrible odeur de tabac froid. Il aime empoigner chacune de mes fesses dans ces mains et les écarter afin d'observer mon trou. Il a enfoncé son pénis en moi. J'ai crié de douleur, puis vint des gémissements de plaisir. J'arrive pas à y croire je prenait plaisir. Il a réussi a piquer mon cœur d'amour, et j'ai découvert que j'aimais le sexe. J'aime vraiment ça.


A 13ans, il décide d’arrêter notre relation pour vivre tranquillement avec ma mère. Mais il se prend pour qui lui, il se fout de moi. Après ce qu'on a vécu il pensait vraiment qu'il allait pouvoir paisiblement vivre avec ma mère . C' est inimaginable pour moi, il est fou ce mec. Il pense vraiment pouvoir jouer avec moi pour ensuite retourner voir ma mère. Quel gros dégueulasse. Je ne peux pas le laisser me quitter comme cela. Je me suis mise à me taillader les veines en le suppliant de ne jamais me quitter mais de plus tôt quitter ma mère ou je lui raconterait tout. Il s'est mis a réfléchir pour ensuite me consoler en me disant qu'il allait y méditer.


Finalement, nous continuons notre histoire en secret, ma mère ne se doute de rien, elle l'aime aveuglement. Le pire, c'est qu'a ce moment je ne pense même pas au mal que l'on fait a ma mère, je pense seulement au bien que cet homme me procure.


Il m’envoie des messages d'amour et coquin que je prend plaisir a relire. Il me fait tellement de belles promesses. Sur le calendrier du salon, il a entouré avec fierté la date de mon premier viol, et je la regarde avec admiration, plaisir.


Depuis 10ans ont passés et je suis toujours amoureuse de lui, 10 ans que je pense qu'il ne fais rien de mal, qu'il m'aime simplement.



A 17 ans, je suis encore très amoureuse de lui, mais en grandissant je commence à comprendre que notre histoire ne changera jamais, qu'il n'est pas prêt à quitter ma mère, et qu'il fait tout pour m’empêcher de lui dire la vérité.


Un soir, ma mère comme d'habitude étant de sortie sûrement dans un bar, cet homme, m'a pousser à boire une grande quantité d'alcool pour ensuite me violé. Par la suite je suis tombé enceinte, il s'est chargé de me faire avorter en cachette de ma mère. Il a été là pour toutes les étapes. Durant nos rapports sexuels il m'a même transmis des tas de maladies sexuelles, je n'en pouvait plus. Cet homme n’est rien d'autre qu'un salaud, qu'un pédophile, violeur. Il m'a torturé psychologiquement. Il a une telle éloquence. Il est tellement charmeur et rieur. Après tout a quoi aurais je du m'attendre, il sort avec ma mère. Je n'arrive plus a supporter notre trio sexuelle, je décidé de m’auto-flagellée pour me faire du mal. Je n'arrive plus a vivre ainsi.


Ne trouvant pas d'issue et ne supportant plus la douleur, j'ai essayé de me suicider. Un soir dans la salle de bain j'ai avalé tous les comprimés trouvé dans la pharmacie. Ma tentative a échouée.


Enfant, je m'aimait trop, je me trouvait très jolie, j'étais capricieuse. J'aimais me venter de ce que j'avais acheté ou de ce qu'on m'avait offert. Aujourd'hui, à l'age adulte, je me haie, me déteste, je m’écœure. J'avais enfin réaliser que notre histoire était malsaine. Comment ai je pu être aussi naïve et tomber amoureuse de ce salopard.


Mon ami Saïd, a qui j'ai raconté toute mon histoire, m'a poussé à le dénoncer. Il m'a fait comprendre que j'ai vécu une histoire de fou qui valait les gros titres. Il a réussi a me convaincre que je n'ai pas a m'en faire, que je n'y suis pour rien . Que toute cette histoire dégueulasse a eu lieu a cause de cet homme mais aussi a cause de la négligence de ma mère. Ma mère n'est pas d'accord pour que je le dénonce, elle ne croit pas un brin à mon histoire. Elle l'aime tellement, il a toujours su cacher son coté sombre. Aux yeux de ma mère, c'est un mari modèle.


Toute cette histoire me pousse à consulter un psychologue qui m'aide à mettre des mots sur mes blessures internes et externes. Cet homme m'a détruite. Il m'a volé mon innocence.



Et vous qu'en pensez vous ? D'où lui son venu ces envies coquines dès son plus âge ? Qu'aurait du réellement faire sa mère ? A 10 ans est on responsable de nos choix ? Je vous laisse méditer la dessus ?

 


 
 
posté le 09-11-2019 à 22:06:22

A JAMAIS OUGANDA DANS MON COEUR

Voici le témoignage de Sarah. Une jeune étudiante de Lille qui a vécue une histoire bouleversante et qui souhaite vous la faire partager. Qui mieux qu'elle peut vous raconter ses périples en Afrique ?

 


Sarah – 22ans :


« Les voyages font totalement partis de ma vie. J'ai toujours apprécié m 'ouvrir à l'ailleurs, aller vers les autres, partager, recevoir.


Dans le cadre d'un bénévolat, j 'ai effectué un voyage en Afrique de l'Est, en OUGANDA. Cette mission a bouleverse ma vie.


Mon rôle en Afrique est d'assister les aides soignantes et infirmières au sein d' un orphelinat. La bas je me suis rendu compte du manque d’émotion chez les infirmières qui « faisait froid dans le dos», et l’absence d’évaluation globale des patients. Je dois changer les couches des bébés, leur donner le biberons, et jouer avec eux afin de les divertir. Dehors c'est la guerre.


Un appel SOS est lancé. Une mère est entrain de mourir, elle est blessée par balle, laissant 7 enfants à la charge de l'orphelinat, dont un nourrisson à peine âgé de 7 jours.


Le bébé m'est sur le champs confié. Il est pour un temps totalement à ma charge. L'orphelinat me l'a confié sans même me donner de quoi le nourrir et le vêtir. L'autorité Française ne veux rien savoir concernant le financement de la garde d'un enfant. Je me suis débrouiller pour lui acheter du lait, tous les jours avec mes faibles revenus. Moi, simple bénévole, je dois être en capacité de le nourrir et de le vêtir. J 'ai à peine de quoi vivre en Afrique.


En détresse, j'appelle ma mère. Je n'ai jamais eu d'enfants en charge, pas même frère ou sœur, étant fille unique. J' ai jamais été mariée, je n'ai donc aucune idée de comment m'en occuper. Ma mère m'a guidé, donné de très bon conseils. Elle sait de quoi elle parle, elle a réussi à m'éduquer durant toutes ces années, et elle a travaillé dans la garde d'enfants durant son enfance.


Les conseillers de l 'orphelinat me mettent en garde sur le fait que je ne doit en aucun cas m 'attacher, avoir des sentiments à l'égard de l 'enfant. Comment peuvent ils me dire ça? Comment ne pas s'attacher à un bébé qui vient de perdre sa mère dans d'atroces circonstances et qui se retrouve du jour au lendemain jeter dans mes bras. A ce moment précis j'ai pris conscience que je l'aimais déjà.


Pour des raisons professionnels, j'ai précipitamment quitter l’Afrique et laisser l'enfant à l'orphelinat pour rentrer en France recevoir mon diplôme d'institutrice. Je vis très mal la séparation avec l'enfant c' est très dure.


Après avoir reçu mon diplôme, une chose tourner en rond dans ma tête. Je devais à tout prix retourner en Afrique. C’était plus fort que moi. C'est mon âme qui le réclamait. J'ai accumuler pas mal d'argent en travaillant ardemment. Une fois que j'ai réuni le maximum d'argent pour pouvoir vivre convenablement à deux j'ai décidé de repartir retrouver l'enfant qui me manque tant. J'avais l'impression de l'avoir abandonné. Une fois arrivée en Afrique, les retrouvailles ont étés très émouvantes. J'ai retrouvé l'enfant et je ne l'ai plus lâché.


Suite au mariage de ma meilleure amie, je suis de nouveau retourner en France, je ne pouvais en aucun cas rater cet événement et de plus, j’étais la fille d'honneur.


Après le mariage je suis retournée en Afrique pour enfin revoir comment allé l'enfant. Les jours passaient et l'argent d’envolé je ne pouvais plus vivre à deux dans ces conditions. Ma situation financière était catastrophique, je ne pouvais plus rester dans ce pays sans avoir un sous. C'est avec une grande boule au ventre que j'ai décidé de rentrée en France pour travailler afin de gagner de l'argent pour m'installer définitivement en Afrique.


J'ai cumulé trois travail, le jour institutrice et assistante maternelle , la nuit serveuse dans un bar. Je me suis donné a fond pour que mon projet se réalise. Mon unique but était de réunir assez d'argent a tout prix pour pouvoir m'en sortir la bas.


C'est très dur à vivre pour moi. J'ai deux vies totalement différentes. En France, je suis une jeune demoiselle en quête de folie et d'amusement, en Afrique, je suis une mère responsable et organisée.


A chaque période de vacances scolaires, j' en ai profité pour retourner en Afrique prendre des nouvelles de l'enfant. Toutes de nos retrouvailles ont étés forte en émotions, nous l'avons ressentit a travers nos regards. A chaque rencontres, il s'est mis à courir très vite les larmes aux yeux dans mes bras.


Aujourd'hui, je vis en Afrique, j'y travaille à temps plein. Avec l'argent que j'ai réussi a cumulé j'ai ouvert une école pour les enfants abandonnés, orphelins... Le plus important est que je sois aux anges car je me suis battue pour qu'aujourd'hui l'enfant soit le mien.



Vœux exaucés, l'enfant est enfin le mien, qui l'aurait cru un jour, surtout pas ma famille, ou ma meilleure amie. Je suis aujourd'hui une jeune mère diplômée, qui a adopté une enfant et qui a décidé de tout quitté pour vivre en Afrique.


C'est le plus beau voyage de ma vie.












 


 
 
posté le 09-11-2019 à 22:03:07

MES ENFANTS, MA FIN DE VIE

L'histoire d'une femme de 42 ans, qui a combattu sa maladie pour ces enfants. L élaboration de vidéos pédagogues à l'attention de ces 4 enfants lui a permis de survivre plus longtemps. Une histoire poignante en émotion mais qui donne un élan d'espoir aux femmes qui se trouvent actuellement dans son cas :

 


Alexia – 42 ans :


« Je m'appelle Alexia. Il y' a déjà 3 ans les médecins m'ont informé que mon cerveau est atteint d'une tumeur. Je ne m'y attendais pas du tout. je vivais une vie heureuse et paisible . Au moment de cette annonce j’étais une femme divorcée qui avait refait sa vie depuis 5 ans. J’étais enceinte (pratiquement à terme), avec 3 merveilleux enfants.


Le père biologique des enfants a déserté il y' a bien longtemps. Il ne nous a jamais donné de nouvelle depuis son départ. Il en a rien a foutre de ces enfants et encore moins de moi. Nous ne faisons plus partis de sa vie, il nous a renier.

 

Je souhaite à personne ce que je vie. Savoir que l'on va bientôt mourir d'une maladie, sans savoir à quel moment précis est très frustrant. Pour toi, comme pour ton entourage. Tout le monde reste au aguets jusqu'à ton dernier souffle. On se tourmente la tête de questions : comment vont s'en sortir les gens que l'on aime? Que vont devenir nos enfants? Quel va être l'avenir de l'enfant que l'on porte en nous? Des questions auxquelles une mère devraient avoir toute une vie pour y réfléchir. Moi ce temps je ne l'ai pas. Tout se chamboule dans ma tête. J'ai l'impression que je ne pourrait jamais partir sans eux.


Un jour, j'ai eu l'idée, de faire des vidéos pour chacun de mes enfants, qu'ils lieront à chaque grand moment d'émotions de leur vie. Je suis totalement abattu de savoir que je ne serais pas présente au moment où ma petite dernière fera ses premiers pas, ou leur premier examen, leur premier amour, leur première blessure, déception, leur mariage... Je souhaite qu'à travers ces vidéos, ils auront l'impression que je partage leur vie.


C'est un travail de longue envergure qui chaque jour me donne la force d'avancer, de ne pas me laisser abattre. La maladie ne doit pas l'emporter et réaliser ces vidéo me permettent de me battre. Je suis allongé sur un lit d’hôpital, déjà très malade, et pourtant l'heure est venue pour moi d'accoucher. Je ne vous dit pas même comment cela est très éprouvant. Je ne suis plus maître de mon corps, il ne me reste plus aucune force.




Après avoir accouché, on m'annonce une deuxième tumeur. Celle l'a est bien plus coriace, elle me vole toute mon énergie. Dieu merci, j'ai un frère très bienveillant, il passe souvent me donner un coup de main, en plus de ses heures de boulots, et en sachant que sa femme est même est enceinte. Tout ces moments ont du êtres très fatiguant pour lui.


Deux semaines après mon accouchement, je suis admise aux urgences. Je suis prise d'une attaque, qui a causée une paralysie de tout mon coté gauche. Je suis très mal en point, je n'ai plus aucune autonomie. Je vie et fait vivre autour de moi un réel enfer. Mon frère est bien plus qu’un frère, il m' assiste chaque jour. Il est fort pour moi. Malgré ma maladie, mes enfants, sa femme enceinte, il assure tout les jours et ça jusqu’à ma mort.


Consciente qu'il ne me reste plus beaucoup de temps à vivre, nous décidons de parler de l'après. De l'avenir de mes enfants. Nous convenons d'un commun accord que mon frère et sa femme auraient la garde de mes enfants dès ma mort. J'en pleure de joie. Un poids en moins, je ne veux surtout pas que mes enfants deviennent les pupilles de l’État, laissés à l'abandon. Je suis soulagée de savoir qu'ils évolueront dans la famille. Et je sais que mon frère me ferait vivre en contant à mes enfants qui j’étais avant ma mort et qu'ils leurs répéteraient sans cesse a quel point je les aime.


Aujourd'hui, à l'heure où vous lisez ces lignes je suis sûrement déjà morte, emportée par la maladie. Mes enfants ont donc du déjà voire la vidéo où je parle de la mort. «  coucou mes loulou ! Vous devez sûrement trouver bizarre de tous vous retrouver devant l’écran à me voir moi, alors que je viens a peine de mourir. Je tenais a vous dire que la ou je suis mon amour pour vous n'a pas changé, je vous aimerez à vie..... » C'était leur première vidéo ou je leur expliquait qu'il y en aurait d'autres qui les suivront tout le long de leur vie.

 

Je veux partager mon expérience afin de redonner courage aux personnes en fin de vie.


Leur crier haut et fort qu'il ne faut surtout pas baisser les bras, et laisser le plus de bons souvenirs possibles à nos proches avant de partir ».


 


 
 
posté le 09-11-2019 à 21:58:42

INTRODUCTION


J'ai décidé d’écrire ces pages afin de partager les histoires qui m'ont tout simplement marquées, qui ont su me démontré à quel point l'humain peut être cruel mais aussi plein d'amour.


Tous les jours, nous croisons des inconnus pour lesquels nous ne savons rien de leur vie, mais pourtant, nous nous permettons de juger leurs actes, leurs dires ou tout simplement leurs apparences. Nous savons bien au fond de nous, que chacun garde enfoui en lui des idées sombres ou au contraire tellement belles que nous avons peur de les partager, de crainte que ces idées s'envolent, ou soient volées. Cela prouvent que nous manquons de confiance envers nos semblables. La vie que nous menons et les faits dont nous avons étés témoins au quotidien démontrent que nous avons perdu l'espoir de pouvoir faire confiance en quelqu'un et le plus malheureux dans tout ça, c'est que pour certains, ils ne peuvent même pas avoir confiance en leur propre famille.


Parfois la vie, pousse certaines personnes à dire ou faire des choses qu'elles ne pensaient jamais commettre ou dires. Ne jamais dire " Moi, jamais je ne ferais ça ou dirait ceci". Personne n'est a l'abri de la folie. C'est pour cela que je vous conseil de ne jamais plaisanter sur la folie d'une personne car cette personne demain pourrait être vous et c'est sur vous qu'on pourrait plaisanter.


Avec les vérités que l'on connaît aujourd'hui, certaines personnes pensent que ces individus vivent dans un état de troubles psychiatriques, d'autres pensent qu'un esprit malsain "djinn" a pris possession de son corps ou qu'une personne de leur entourage leur a jeter un sort qui leur joue un mauvais tour ( le mauvais œil) . Bon nombre de personnes connaissent la vérité sur la magie noire et d'autres préfèrent tout simplement l'ignorer.


Demandez - vous après avoir lu ces témoignages, si cette personne n'aurait pas pu être vous, un membre de votre famille , un voisin, une connaissance...


Dans la vie, on joue tous un rôle. Personne ne peut dire qu'elle vit sa vie 24h sur 24h comme son âme la vivrait. Heureusement, qu'il y 'a encore des personnes dotées d'amour à partager, sans rien attendre en retour, dans ce paysage sombre et glauque, pour nous permettre de garder espoir et foi.


Ces témoignages peuvent nous paraître crus, mais la réalité et beaucoup plus sombre que ces lignes. Certaines personnes à travers ces témoignages peuvent vous paraître détestables comme d'autres très attachantes.

 

Après avoir lu ces pages, je vous assure que vous regarderez mieux autour de vous et que vous ferez plus attention aux personnes qui font partie de votre quotidien mais vous aurez aussi plus de facilité à tendre votre oreille ou votre main aux personnes dans le besoin.


Je le répète, méfiez vous des apparences, une bonne sœur peut être beaucoup plus dangereuse qu’une SDF, pourtant a qui aurez vous fait le plus facilement confiance ?


La méchanceté n'a pas de visage, ni d'apparence, elle est ancrée en nous.

 


 
 
posté le 09-11-2019 à 21:56:16

CE N'EST QUE LE DEBUT

 


 
 
 

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